En fait, il y a 18 vignettes. Derrière chaque vignette se cache un signe, et il y a trois signes par paris. Chaque signe correspond à un objet. La vignette gagnante est celle qui contient les numéros des deux premiers chocobos. Si tu as misé sur cette vignette, tu obtiens l´objet caché derrière (enfin, qui correspond au signe caché derrière). Plus la classe monte, plus les objets sont rares..et valent pas mal de GP. En gros, il faut prendre un, le chocobo le plus rapide, deux, le plus résistant et trois, celui qui a la meilleure rapidité/résistance additionnée en troisième. Bref, si les chocobos sont 1, 5 et 6, tu devrais faire les paris 1-5, 1-6 et 5-6, au cas ou tu n´aies pas compris

Limite Breaks FF VIII

Traduction de la chronologie FF VII

Critiques des OST

Faire un Versus sur le blog, Gabranth VS Seifer

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Final Fantasy et la musique

Du I au IX

Il va sans dire que Final Fantasy rime evidement avec Nobuo Uematsu. Mais pourquoi une série ayant débuté en 1987 avec si peu de moyen est aujourd'hui la troisième firme mondiale de jeu video aujourd'hui ( derrière Pokemon et Mario ) ? Il va sans dire que c'est grâce au talent incontestable du petit moustachu mais surtout ) à sa capacité à s'adapter à son époque et son milieu. Tantôt mélodique, tantôt joyeuse, ou encore orchestrale, ou même rock, Final Fantasy est une ouvre musicale à part entière. Chaque lieu, chaque village de Final Fantasy, a d'abord une athmosphère musicale avant d'avoir un architecture. Tantôt reposante, ou tanôt opressante, nos sentiments sont avant tout conduits par l'athmosphère musicale des lieux.

FF VIII est le premier à disposer d'une chanson thème. Et pour cette première fois, Square a décidé de frapper un grand coup. En effet, c'est Faye Wong, une pop-star chinoise, qui a été chargée de chanter “ Eyes on Me “… Cette splendide chanson d'amour (interprétée en deux versions : pop et orchestrale) est sortie sur un CD nommé ” Single Eyes on Me ”, au début 1999. Il contenait la version chantée (pop), la version instrumentale et une chanson de Faye Wong.

La bande originale de Final Fantasy IX a un parfum particulier, sans doute car il s'agit de la dernière oeuvre en solo de Nobuo Uematsu pour la série. Dès FFX, il commence à partager son travail avec d'autres compositeurs qui apportent tous des inspirations nouvelles. Cela dit, FFIX n'est pas vraiment teinté d'un goût d'adieu, mais plutôt de maturité. La grande qualité des compositions de Nobuo Uematsu pour ce jeu viennent sans doute du fait qu' il s'agit, tout comme Hironobu Sakaguchi d'ailleurs, de son épisode préféré. Il l'a tellement inspiré qu'il a écrit près de 160 pistes ! S'il a été si prolifique, c'est tout simplement parce qu'il a travaillé à Hawaii, où le jeu était en partie conçu…

Au sujet des musiques de Final Fantasy IX, Nobuo Uematsu explique : “La composition de la musique de FFVII et de FFVIII s'était si bien passée, que si nous étions restés au Japon pour travailler sur ce nouvel album, je crois qu'il aurait pu être inutilement compliqué. Je suis donc d'avis que le changement d'environnement fut une bonne chose. Je crois que ce fut l'année où j'ai composé le plus de morceaux différents. Je me rappelle d'avoir travaillé sur mes compositions jour et nuit… et quand je me réveillais le matin, je pouvais toujours admirer le ciel bleu et l'océan à ma gauche. C'était merveilleux. Je me souviens que j'ai alors pensé que je pouvais vraiment progresser et faire du bon travail dans un endroit comme celui-là.” Ce besoin de changer d'air lui a également servi alors qu'il composait la chanson thème de Final Fantasy X.

Final Fantasy VIII était le premier épisode à proposer une chanson thème. FFIX suit donc la même tendance et propose une chanson intitulée “Melodies of Life” (les mélodies de la vie), interprêtée par Emiko Shiratori. Depuis lors, tous les Final Fantasy possèderont une musique-chanson thème. Emiko Shiratori était connue en dehors du Japon uniquement pour avoir chanté à l'occasion des Jeux Olympiques de Sapporo en 1972 puis Nagano en 1998. “Melodies of Life”, qu'on retrouve tout au long du jeu dans des arrangements instrumentaux, trouve sa place dans le scénario du jeu, puisqu'elle est en réalité la mélodie chantée par Dagga et qui la rattache à ses origines, Madahine-salee. Vous trouverez les paroles sur cette page. Emiko Shiratori a participé à plusieurs concerts autour de la série Final Fantasy, y compris à Los Angeles en 2005.

Ainsi, Nobuo Uematsu a su varier sur tous les thèmes et tous les genres pour créer un enchantement propre à la série.

Vers un nouveau départ, l'après Final Fantasy IX

Dans Final Fantasy X, notre cher Nobuo Uematsu est toujours de la partie, mais cette fois, et c'est une première dans l'histoire de Final Fantasy, il se fait aider par 2 autres compositeurs : Junya Nakano (Dewprism) et Masashi Hamauzu (SaGa Frontier 2) !

Rikki, une chanteuse très connue au Japon et originaire d'Okinawa, a aussi été recrutée pour interpréter la chanson thème du jeu : “Suteki da ne” (N'est-ce pas merveilleux ?). En parlant de Rikki, son single est sorti le 18 juillet 2001, soit la veille de la sortie du jeu au Japon. Il est composé de 4 pistes : Sutaki Da Ne, The Moon, Pure Heart (Le thème d'Aeris qui a été re-arrangé grâce au vote organisé sur le site PlayOnline) et enfin une version instrumentale de Sutaki Da Ne !

Final Fantasy XI… Premier jeu online de Squaresoft. Après l'apothéose que nous connaissons tous, c'est-à-dire les 10 premiers épisodes de la série, tout allait changer. De mon côté, j'étais confiant et à la fois méfiant concernant les musiques de cet épisode. Résolument tournées vers l'ambiance ? Oui, elles le sont. Mais ça ne les empèche pas d'être… excellentes.

Final Fantasy X a fait des émules. Nobuo Uematsu ne peux plus se charger à lui tout seul d'une OST. Après le trio Nakano / Hamauzu / Uematsu, voici le nouveau trio… Mizuta / Tanioka / Uematsu pour… Final Fantasy XI. Le travail très ambiant et assez nul de Naoshi Mizuta sur Parasite Eve 2 nous aura fait craindre le pire. Il a composé la moitié des 51 musiques de l'OST, et force est de constater qu'il est très doué. Il sait manier beaucoup de styles, dont le celtique ! Kumi Tanioka quant à elle est une compositrice moins médiévale que Mizuta, elle essaye plus de compose des musiques modernes, comme ses thèmes de races peuvent le prouver. Uematsu, fidèle à lui-même et donc génial, ne compose que 11 thèmes. Mais parmi ceux-ci il a le thème d'ouverture, le meilleur de la série avec celui de FFVIII, chanté en Esperanto - la fameuse langue “internationale” ; ce qui prend tout son sens dans un MMORPG - ainsi que le thème de la région Ronfaure, absolument merveilleux.

Côté musique, Final Fantasy X-2 est un bouleversement aussi spectaculaire que pour le reste. Ni Nobuo Uematsu ni ses deux collaborateurs pour FFX ne sont présents sur cette suite. En contrepartie, ce sont Noriko Matsueda et Takahito Eguchi qui ont pris en charge l'écriture de la bande originale. Ces deux compositeurs n'en sont pas à leur première collaboration : ils ont déjà travaillé ensemble sur Racing Lagoon en 1999 puis The Bouncer en 2000. Leur style de prédilection est le jazz-rock, ce qui transparaît dans les deux jeux cités précédemment. Pour FFX-2, ils ont décidé d'employer le même style, en diversifiant néanmoins leur approche : au final, en dehors du jazz-rock, on trouve de la pop mais aussi de l'orchestral typique au jeu vidéo et surtout à Final Fantasy. Néanmoins, l'accueil de cette bande originale a été plutôt mitigé auprès des fans, qui s'attendaient sans doute à du Nobuo Uematsu.

C'est désormais une habitude : Final Fantasy X-2 a ses chansons thèmes. Cependant, c'est la première fois que cela prend une tournure véritablement commerciale. Et pour cause : dans la version japonaise, les deux chansons “real Emotion” et “1000 Words” sont interprétées par Koda Kumi, une icône sexuelle de la j-pop. Chaque piste trouve néanmoins sa place dans le scénario du jeu, notamment la ballade “1000 Words” qu'on peut entendre au cours d'une magnifique scène cinématique. Dans les versions occidentales du jeu (ainsi que dans International + Last Mission), c'est Jade Villalon du groupe allemand Sweetbox qui prête sa voix aux deux chansons, bien évidemment traduites en anglais pour l'occasion.

Pour conclure

Comment décrire Final Fantasy par ses musiques… Pour ma part je dirais que Final Fantasy est un tout, formé par un scénario, un monde graphique, et une ouvre musicale à part entière. Chaqun de ces trois élements a une place aussi importante dans un jeu d'une telle envergure. Si Final Fantasy est né d'une collaboration de talents, il a su évoluer au rythme de son temps et s'adapter à tous les genres, des plus graves ( Final Fantasy VI & VII ) au plus léger ( Final Fantasy X-2) en passant par les plus émouvants ( Final Fantasy VIII & X ).

Lexicologie

Pour un devoir à faire or étant à la fac le wiki me parait dans un moment déséspéré un fabuleux moyen de modifier facilement mon cours !! (ne faites pas pareil !!! c'est à titre exceptionel !!)

FFTiger : C'est vrai que ce serait pratique un wiki pour faire ses devoirs… Le fait qu'il soit en ligne permet d'y accéder plus facilement de n'importe où, c'est pratique pour le continuer à n'importe quel moment de la journée… Mais en effet ça n'a pas trop sa place sur WikiSquare ^^'. Enfin, de toute façon je pense que ça peut être toléré sur les pages de commentaires des pages perso… Mais pas ailleurs en attendant que quelqu'un est le courage de sortir un wiki dédié à cette tâche ^^.

http://dictionary.reference.com

http://www.coli.uni-saarland.de/~pierrel/pubs/ling/rapport_lexico.pdf

Hijack :

Selon “The American Heritage® Dictionary of the English Language, Fourth Edition” il semblerait que Hijack soit formé d'après le substentif “hijacker”. Hijacker viendrait de “high-jacker”, apparu à la fin du XIXe siècle aux Etats-Unis à partir de highway-man, nommant un voleur qui dérobe les voyageurs, formé à partir de highway, désigannt la rue principale et de man, “homme”. Hijacker diffère dans le sens ou le voleur est accompagné d'un complice dont le rôle est d'arrêter le véhicule de voyageurs afin de permettre à son complice de dérober celui-ci. En effet to jack signifie “to fish with aid of a lightjack”, a light jack étant un appât luminescant appâtant le poisson. High(wayman) + jacker, instorant le fait de se servir d'un “appât”.

pooper-scooper :

a pooper scooper : A scoop for the collection of pet excrement, especially that of dogs. To poop signifiait “souffler dans la corne”, le verbe étant formé sur une base onomatopéique, le son “poop” renvoyant au son que produit une corne en soufflant dedans. (comme uen corne de guerre par exemple). Selon Douglas Harper, l'auteur de “Etymology Dictionary© 2001”, le verbe “to poop” est formé à partir d'un euphémisme en rapprochant le bruit produit par une corne et le bruit produit par défécation. A poop » produit à partir du verbe.

scoop : apparait vers 1330, “ustensile pour prendre”(n.) from allemand schope “récipient ou sceau,” from germanique. *skopo (cf. germanique moyen . schope “louche”).

http://books.google.com/books?id=mAdUqLrKw4YC&pg=PA1523&lpg=PA1523&dq=word+origin+pooper+scooper&source=web&ots=t0K33SokAE&sig=3RUaKQ4ZBcDx3RwtkKQhUIgshRc#PPA1523,M1

also “pooper scooper law”

http://dictionary.reference.com/browse/scooper

Disserte

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