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       <th colspan="2">Fiche Technique</th>       <th colspan="2">Fiche Technique</th>
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 En ce qui concenre les combats à proprement parler, les héros ont la possibilité d’user directement de leurs armes (longue-portée ou corps-à-corps), ainsi que des magies défensives, curatives ou offensives. La sélection se fait via le « ring command menu », pratique et simple. Ainsi, le joueur ne se disperse pas au travers d’innombrables sous-menus, ce qui participe indéniablement au dynamisme des nombreuses rixes. À noter que l’évolution des armes se fait graduellement par le biais des sphères d’armes glanées au fur et à mesure de la quête ; un bon moyen pour limiter un level-up trop intensif. En ce qui concenre les combats à proprement parler, les héros ont la possibilité d’user directement de leurs armes (longue-portée ou corps-à-corps), ainsi que des magies défensives, curatives ou offensives. La sélection se fait via le « ring command menu », pratique et simple. Ainsi, le joueur ne se disperse pas au travers d’innombrables sous-menus, ce qui participe indéniablement au dynamisme des nombreuses rixes. À noter que l’évolution des armes se fait graduellement par le biais des sphères d’armes glanées au fur et à mesure de la quête ; un bon moyen pour limiter un level-up trop intensif.
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-Enfin, chose rare dans un action / RPG, le joueur incarne les trois héros à la fois, un peu à la manière d’un RPG classique, à la différence qu’à tout moment il est possible de changer de personnage et ainsi d’avoir accès à ses compétences propres. Une simple pression de la touche « select » suffit, ce qui ajoute aux combats un aspect tactique peu fréquent dans ce type de jeu. Il est possible de configurer l’attitude des autres personnages  : attaque, défense, utilisation de magies curatives ou offensives..... Là encore, la simplicité est de mise, les personnages agissent plutôt en accord avec la configuration (même si les personnages contrôlés par l’I-A auront la fâcheuse tendance à rester bloquer dans tous les obstacles qui se trouveront sur leur chemin), ce qui rend les affrontements très agréables. Mais la grande force du soft réside dans la possibilité de jouer avec un, voire deux amis en même temps, chacun dirigeant l’un des trois personnages. Système convaincant et original.+Enfin, chose rare dans un action / RPG, le joueur incarne les trois héros à la fois, un peu à la manière d’un RPG classique, à la différence qu’à tout moment il est possible de changer de personnage et ainsi d’avoir accès à ses compétences propres. Une simple pression de la touche « select » suffit, ce qui ajoute aux combats un aspect tactique peu fréquent dans ce type de jeu. Il est possible de configurer l’attitude des autres personnages  : attaque, défense, utilisation de magies curatives ou offensives..... Là encore, la simplicité est de mise, les personnages agissent plutôt en accord avec la configuration (même si les personnages contrôlés par l’I-A auront la fâcheuse tendance à rester bloquer dans tous les obstacles qui se trouveront sur leur chemin), ce qui rend les affrontements très agréables. L'originalité du jeu réside également dans la possibilité de jouer avec un, voire deux amis en même temps, chacun dirigeant l’un des trois personnages.
  
 ===== Présentation des personnages ===== ===== Présentation des personnages =====
  
-Contrairement à la version européenne, les personnages des versions américaines et japonaises possèdent un nom prédéfini. Le héros, selon ces versions, se nommerait Rasodei, Lasodei ou même Randy pour certains (´È´Ω´«´§dans la version japonaise), la jeune fille qui l’accompagne Purimu ou Pulim (´◊´Í´‡) et l’elfe Popoï (ポポイ). Si le héros est contraint de se jeter dans l’aventure, il n’en est pas de même pour ses acolytes, qui le rejoignent pour différentes raisons. Pulim, originaire de Pandore et fille du roi, souhaite simplement retrouver Tom, son fiancé, un général de l’armée manipulé par l’Empire. Popoï quant à lui, a intégré l’équipe parce qu’il a été touché par l’honnêteté des deux autres. Cela sera aussi l’occasion pour lui de revoir son lieu natal : le « haut-pays ». Des équipiers en apparence bien différents, mais qui sauront rapidement se rapprocher pour finalement constituer un trio vraiment sympathique.+Contrairement à la version européenne, les personnages des versions américaines et japonaises possèdent un nom prédéfini. Le héros, selon ces versions, se nommerait Rasodei, Lasodei ou même Randy pour certains, la jeune fille qui l’accompagne Purimu ou Pulim et l’elfe Popoï. Si le héros est contraint de se jeter dans l’aventure, il n’en est pas de même pour ses acolytes, qui le rejoignent pour différentes raisons. Pulim, originaire de Pandore et fille du roi, souhaite simplement retrouver Tom, son fiancé, un général de l’armée manipulé par l’Empire. Popoï quant à lui, a intégré l’équipe parce qu’il a été touché par l’honnêteté des deux autres. Cela sera aussi l’occasion pour lui de revoir son lieu natal : le « haut-pays ». Des équipiers en apparence bien différents, mais qui sauront rapidement se rapprocher pour finalement constituer un trio vraiment sympathique.
  
 ===== Anecdotes ===== ===== Anecdotes =====
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 Les débuts de la saga des Seiken Densetsu furent tumultueux, au point que la série faillit bien ne pas voir le jour du tout. Tout commence en 1987, un jour pendant lequel un projet monumental germe dans les jeunes esprits de la firme nipponne. Son nom : Seiken Densetsu : The Emergence of Excalibur. Ce projet n’a pu aboutir à cause notamment de la faible capacité des disquettes du Famicom Disk System, console sur laquelle le jeu aurait dû tourner. (Il aurait fallu pas moins de cinq disquettes pour assouvir l’imagination particulièrement féconde des employés de Squaresoft !). L’équipe est alors obligée de revoir ses ambitions à la baisse et se remet au travail. Un nouveau projet – initialement nommé Gemma knights – voit le jour et conservera finalement l’appellation : Seiken Densetsu. Mais il se pourrait que le projet de 1987 n’ait pas tout à fait été enterré. En effet, on remarque que le titre Emergence of Excalibur rappelle le tout début de Secret Of Mana, notamment le moment où, tel le roi Arthur (et son épée légendaire), le héros retire l’épée de son rocher. De plus, on retrouve le nom originel du second projet (Gemma Knights) en la personne de Gemma (Version U-S), le chevalier de Tasnica. Secret of Mana serait donc la finalisation d’un rêve, celui d’une équipe en avance sur son temps, bridée par l’état de la technologie. Les débuts de la saga des Seiken Densetsu furent tumultueux, au point que la série faillit bien ne pas voir le jour du tout. Tout commence en 1987, un jour pendant lequel un projet monumental germe dans les jeunes esprits de la firme nipponne. Son nom : Seiken Densetsu : The Emergence of Excalibur. Ce projet n’a pu aboutir à cause notamment de la faible capacité des disquettes du Famicom Disk System, console sur laquelle le jeu aurait dû tourner. (Il aurait fallu pas moins de cinq disquettes pour assouvir l’imagination particulièrement féconde des employés de Squaresoft !). L’équipe est alors obligée de revoir ses ambitions à la baisse et se remet au travail. Un nouveau projet – initialement nommé Gemma knights – voit le jour et conservera finalement l’appellation : Seiken Densetsu. Mais il se pourrait que le projet de 1987 n’ait pas tout à fait été enterré. En effet, on remarque que le titre Emergence of Excalibur rappelle le tout début de Secret Of Mana, notamment le moment où, tel le roi Arthur (et son épée légendaire), le héros retire l’épée de son rocher. De plus, on retrouve le nom originel du second projet (Gemma Knights) en la personne de Gemma (Version U-S), le chevalier de Tasnica. Secret of Mana serait donc la finalisation d’un rêve, celui d’une équipe en avance sur son temps, bridée par l’état de la technologie.
  
 +//Merci à Charles-hilaire V. pour l'article//
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